Apprendre l’anglais en 1 an : mon défi concret pour enfin comprendre, parler et voyager librement

J’ai commandé deux cocktails… et je les ai détestés. Mais avant ça, laisse-moi revenir en arrière du pourquoi j’en suis arrivé là.

L’appel du monde : de la routine au grand départ

Depuis mon entrée dans la fonction publique, une question revenait sans cesse dans ma tête : « Est-ce que je vais rester là toute ma vie ? » Cette routine confortable, mais étouffante, m’inquiétait. Je sentais que je passais à côté de quelque chose de plus vaste, de plus vivant.

Un jour, une alerte à la bombe a déclenché l’évacuation de notre bâtiment. Je devais m’assurer que tout le monde sorte. C’est à ce moment-là que je l’ai remarquée : une collègue jusque-là invisible à mes yeux. Une rencontre improbable dans un moment de tension.

Elle est devenue bien plus qu’une collègue. Elle m’a ouvert à un autre monde. Voyageuse, curieuse, toujours entre deux destinations. Elle m’a transmis ce goût de l’ailleurs, cette envie de voir plus grand. En la suivant à Malte, j’ai compris que moi aussi, je voulais m’ouvrir au monde.

Mais très vite, un obstacle est apparu. Et ce que j’allais vivre là-bas allait me le rappeler brutalement.

L’étincelle : un cocktail, une erreur, un déclic

Ce jour-là, en happy hour à Malte, j’ai compris que je ne parlais pas anglais. J’avais juste réussi à mal lire une carte et à mal comprendre un serveur. Résultat : deux verres d’un alcool que je déteste, et des blagues auxquelles je riais sans les comprendre.

Mais cette scène, ridicule en apparence, a été un révélateur. Une claque. La preuve vivante que mes années d’anglais scolaire ne m’avaient jamais préparé à la vraie vie.

Le point de bascule

Et c’est précisément là, à Malte, que tout a pris sens.
Ce cocktail raté n’était qu’un symbole. Un petit détail qui cachait un problème bien plus grand : je ne comprenais pas le monde qui m’entourait.

Je voulais être à l’aise pour commander dans un bar, comprendre les blagues sans qu’on me les traduise, profiter pleinement d’un film en version originale sans passer mon temps à lire les sous-titres, ou encore échanger librement avec des anglophones. Mais sur le moment, tout ça me semblait et me semble au moment où j’écris ces lignes hors de portée.

Ce moment d’inconfort, à Malte, a fait éclater au grand jour tous ces blocages que je trainais sans toujours les nommer et il a aussi donné naissance à une décision forte.

Mon défi : 365 jours pour devenir fluent

Je ne voulais plus rester spectateur de ma frustration. Je voulais avancer, apprendre, m’améliorer. Alors, j’ai pris une décision : me lancer un vrai défi, un défi engageant, motivant, public.

Pendant un an, je vais consacrer du temps chaque semaine à l’apprentissage de l’anglais. Je ne sais pas encore précisément quelle méthode sera la meilleure, mais je vais chercher, expérimenter, faire des ajustements au fil du temps. Et je partagerai tout ici, avec toi, sur ce blog Esprit Fluent.

Chaque semaine, tu trouveras un article avec :

• Mes progrès (ou mes galères)
• Ce que je teste (et ce que j’abandonne)
• Des ressources concrètes : films, chaînes YouTube, livres
• Mes blocages, mes doutes, mes victoires

Une vision pour dans un an

Je ne sais pas exactement jusqu’où ce défi me mènera.

Mais dans un an, j’aimerais pouvoir :

• Regarder un film en VO sans sous-titres
• Lire un livre en anglais et en faire un résumé
• Avoir une conversation spontanée avec un anglophone pendant un voyage
• Comprendre un podcast natif sans ralentir la vitesse

Ce ne sont pas des cases à cocher. Ce sont des repères.
Et chaque petit pas me rapprochera un peu plus de cette vision.

Ce blog n’est pas une méthode miracle

Je ne suis pas prof.
Je ne suis pas bilingue.
Mais j’ai pris une décision simple : me donner enfin une réelle chance d’y arriver.

Ce blog, c’est notre carnet de bord. Un compagnon de voyage où l’on avance ensemble, entre doutes, échecs passagers et victoires.

Rejoins l’aventure Esprit Fluent 🚀

Chaque semaine, je te partage ce que j’apprends. Tu peux suivre, t’inspirer, réagir. On avance ensemble. Et qui sait… dans un an, on tiendra cette conversation en anglais ?

Parce que les idées qui changent ta vie ne sont pas traduites.

Et toi ? Pourquoi veux-tu apprendre l’anglais ? Note-le en commentaire. C’est ta première étape.